Une petite communauté dynamique de sept jeunes sœurs Burkinabées, est très engagée dans des actions concrètes de lutte contre la pauvreté. Chacune est responsable d’un ou plusieurs services et travaille en équipe avec d’autres personnes engagées dans la même cause.
Le dispensaire : lieu de soins et de prévention situé à deux pas de la communauté. Ouvert le matin, il accueille les personnes malades. C’est au dispensaire que les enfants dénutris sont repérés puis orientés au CREN. La Caisse de Solidarité permet aux plus pauvres d’accéder aux soins.
Le CREN : c’est au Centre de Récupération et d’Education Nutritionnelle que de nombreux enfants dénutris sont sauvés. Ils s’y rendent avec leur maman une à deux fois par semaine, pour une pesée, apprendre à faire la bouillie enrichie et emporter les ingrédients pour refaire cette bouillie au village.
Le dispensaire : lieu de soins et de prévention situé à deux pas de la communauté. Ouvert le matin, il accueille les personnes malades. C’est au dispensaire que les enfants dénutris sont repérés puis orientés au CREN. La Caisse de Solidarité permet aux plus pauvres d’accéder aux soins.
Le CREN : c’est au Centre de Récupération et d’Education Nutritionnelle que de nombreux enfants dénutris sont sauvés. Ils s’y rendent avec leur maman une à deux fois par semaine, pour une pesée, apprendre à faire la bouillie enrichie et emporter les ingrédients pour refaire cette bouillie au village.
L’animation dans les villages : éduquer à la nutrition et la santé, rapprocher de la population les services d’information et de sensibilisation sur la santé et repérer les bébé malnutris pour mieux accompagner les parents… les Sœurs se rendent dans des villages en pleine brousse, à plusieurs kilomètres sur une route difficilement praticables.
L’école Ste Monique : située en pleine brousse, choix stratégique pour permettre aux enfants des villages les plus éloignés de la ville d’être scolarisés. Il y a 6 niveaux. La question se pose désormais pour les Sœurs d’ouvrir un collège.
Le centre de rééducation St Augustin : chaque jour, environ quinze personnes (adultes et enfants) en situation de handicap y sont accueillies et accompagnées par deux aides-kinésithérapeutes. Pour ce service, ce sont également les patients démunis qui sont privilégiés.
Ce travail intense, avec des moyens simples, porte des fruits bien visibles auprès des familles en situation de pauvreté dans les villages
Terre de Vie finance les salaires des différents services pour fonctionner